Sarkozy propose des Etats généraux pour l’outre-mer

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Le chef de l’Etat annonce une enveloppe de 580 millions d’euros pour les DOM et propose la création d’une collectivité unique par département d’outre-mer.

Il se savait très attendu sur le sujet. Recevant à l’Elysée les élus d’outre-mer, le président de la République Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi une enveloppe de 580 millions d’euros pour les DOM, dont 280 millions au titre du RSA.

Nicolas Sarkozy, qui s’est exprimé jeudi à 19 heures sur les antennes de RFO, a par ailleurs affirmé qu’il se rendrait en Guadeloupe «dès le calme revenu» afin d’y ouvrir une série d’états généraux pour débattre «des grands enjeux» dans chacune des collectivités ultra-marines. «Je vous propose que nous nous mettions d’accord sur un processus étalé sur trois mois. Il s’agira de la plus grande consultation jamais réalisée en outre-mer», a lancé le chef de l’Etat à la trentaine d’élus de Guadeloupe, Martinique, Réunion et Guyane, réunie à l’Elysée.

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Anheuser-Busch InBev pourrait supprimer des centaines de postes

LONDRES (Reuters) – Anheuser-Busch InBev pourrait supprimer des centaines d’emplois en Grande-Bretagne, rapporte l’édition dominicale du quotidien The Independent, citant une note interne du brasseur.

Dans un courrier électronique, Stuart McFarlane, le président d’AB InBev pour la Grande-Bretagne, dresse une liste des secteurs dans lesquels des compressions de personnels sont envisageables après la fusion de l’américain Anheuser-Busch et du belge InBev.

Les suppressions de postes pourraient concerner en particulier le secteur des ventes de l’ancienne entité Anheuser-Busch.

AB InBev, désormais basé en Belgique, emploie 120.000 personnes dans le monde, dont 2.500 en Grande-Bretagne.

Le groupe n’était pas joignable pour commenter cette information.

Lorraine Turner, version française Nicolas Delame

En crise, la famille Wendel veut reprendre le contrôle de son patrimoine

Face une double crise, financière et interne, la famille Wendel, héritière des maîtres de forges lorrains serre les rangs pour préserver sa fortune qu’est censé faire fructifier la société d’investissement Wendel (actionnaire de Saint-Gobain, Bureau Veritas, Legrand…).

Mercredi 3 décembre, 250 actionnaires familiaux de la Société lorraine des participations sidérurgiques (SLPS), la holding qui contrôle le groupe Wendel, se sont réunis à l’Automobile Club de Paris. La réunion promettait d’être houleuse, certains héritiers contestant l’éthique et la stratégie adoptée par Ernest-Antoine Seillière et par Jean-Bernard Lafonta, respectivement présidents du conseil de surveillance et du directoire de Wendel.

Tombé sous les 40 dollars, le prix du baril de pétrole devrait continuer à chuter

Des réservoirs géants pleins à ras bord, des tankers à quai servant à stocker le brut qui ne trouve pas preneur… Ces images d’un monde débordant d’or noir commencent à devenir réalité. La forte baisse de la demande et la surabondance – temporaire – d’hydrocarbures ont entraîné une chute des cours. Le brent de la mer du Nord pour livraison en janvier est tombé à 39,50 dollars, vendredi 5 décembre, à Londres – son niveau de janvier 2005 – très loin du record de juillet (147,50 dollars). Le light sweet crude coté à New York a clôturé à 41,66 dollars. En cinq jours, le baril a perdu 20 % de sa valeur.

Le Congrès prêt à débloquer 25 milliards de dollars pour le secteur automobile

Les élus démocrates au Congrès voudraient accorder 25 milliards de dollars (19,7 milliards d’euros) de prêts aux constructeurs automobiles General Motors, Ford et Chrysler pour les sauver de la faillite, rapporte le New York Times, samedi 6 décembre. Les négociations entre l’administration républicaine et le parti du prochain président se sont accélérées après l’annonce de la suppression de 533 000 emplois au mois de novembre dans le pays, du jamais vu depuis 34 ans.

Cet argent public serait destiné au développement de véhicules peu gourmands en carburants. Pour satisfaire les républicains, il ne ponctionnerait pas le plan de recapitalisation des banques de 700 milliards de dollars ((Troubled Asset Relief Program, Tarp), selon le journal. Ce compromis pourrait par ailleurs ouvrir la voie au vote du Congrès sur le déblocage de la deuxième moitié de ce plan pour les banques, soit 350 milliards de dollars, souligne le New York Times.

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