Reprendre une entreprise, une opportunité pour se lancer

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A l’évidence, l’année 2009 s’annonce difficile. Pourtant, pour ceux qui se rêvent entrepreneurs, la reprise d’une entreprise, en difficulté ou non, se révèle comme un moyen de se lancer rapidement et sans trop de risque. A condition toutefois de bien choisir la société convoitée et de sécuriser son projet de développement.

Repreneurs, profitez de la crise !

Du fait de la crise, les entreprises en difficulté constituent un vivier d’opportunités pour les repreneurs qui pourront réinjecter des fonds pour les faire vivre et prospérer.

» Pourquoi reprendre une entreprise

» Ils créent une enteprise malgré la crise
Partage d’expériences

Ils se sont lancés en reprenant une entreprise, ils témoignent.

» « J’ai repris une TPE complémentaire à mon activité»

» «J’ai testé la société avant de la reprendre»

» «On peut conclure de bonnes affaires»

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La GB dénonce le secret bancaire suisse

Alistair Darling, British politician and Chanc...
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Le ministre des Finances britannique Alistair Darling a dénoncé le secret bancaire des banques suisses, estimant que l’on ne pouvait pas « tolérer » l’évasion fiscale, dans des propos publiés par l’hebdomadaire britannique The Observer. La tradition du secret bancaire suisse a été mise à mal ces derniers jours par l’exigence de la justice américaine que la première banque du pays UBS révèle des informations sur des comptes secrets.

M. Darling a souligné que les autorités helvétiques devraient réformer les lois fiscales et bancaires du pays pour les aligner avec celles en vigueur en Europe. « Je pense qu’il est important qu’il y ait de la transparence. Personne ne sait ce qui se passe. Ce n’est pas bien, en fait plus de la moitié des problèmes découlent du fait que l’on ne sait pas ce qui se passe », a déclaré le ministre cité par le journal. « C’est l’une des choses que la Suisse doit régler. Si (la Suisse) veut faire partie de la communauté internationale, elle doit être ouverte », a-t-il poursuivi.

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Zone euro:Baisse record de l’activité

Zone euro 2008 ; bleu foncé : de jure ; bleu p...
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Selon une première estimation de l’indice composite des directeurs d’achat (PMI) publiée vendredi 20 évrier, l’activité dans la zone euro a connu une baisse record en février. Celle-ci est jugée particulièrement préoccupante par les économistes.
L’indice PMI, qui synthétise l’activité des secteurs manufacturier et des services, a touché un nouveau plancher record en février, à 36,2 points contre 38,3 points en janvier, a indiqué la société Markit.
C’est nettement en-deçà de que ce qu’escomptaient les économistes interrogés par l’agence Dow Jones Newswires, qui pariaient sur une augmentation à 38,7 points.
L’indice PMI connaît également de nouveaux plus bas niveaux historiques dans les secteurs des services et de l’industrie manufacturière.

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Devant les locaux d’UBS sur Park Avenue, à New York. ©REUTERS/Chip East fermer Veuillez vous identifier Nom * Prénom Mail * Destinataires Nom Mail * Nom Mail Votre message Offensive générale contre le secret bancaire suisse

UBS North American headquarters building in St...
Image via WikipediaUBS, le premier établissement banquier helvétique, est obligée de livrer les noms de ses clients, accusés d’avoir fraudé le fisc américain. Le Conseil fédéral suisse l’a confirmé hier : le secret bancaire protège la vie privée mais pas la fraude fiscale. L’Europe s’engouffre dans la brèche…

En sursis depuis déjà plusieurs années, le sacro-saint secret bancaire suisse vit peut-être ses dernières heures. Depuis le premier janvier 2008, les banques étaient déjà obligées de communiquer l’identité des donneurs d’ordre effectuant des paiements vers l’étranger. Une mesure visant cependant plus à lutter contre l’évasion fiscale plus que contre le blanchiment d’argent. Mais à l’automne dernier, crise économique oblige, les Etats-Unis font pression sur la Confédération helvétique qui capitule et accepte le principe de livrer les noms de contribuables américains accusés d’avoir fraudé le fisc américain en plaçant leurs capitaux dans des banques helvétiques, et notamment chez UBS, premier établissement banquier du pays.

UBS est aujoud’hui obligée de s’exécuter. Cette levée du secret bancaire est cependant limitée et ne concerne « que » 200 à 300 clients de la banque helvétique. En échange, le département américain de la Justice renonce à poursuivre l’établissement bancaire au pénal, mais lui réclame tout de même 780 millions de dollars (618 millions d’euros), pour avoir activement aidé 20.000 clients américains à tromper le fisc américain, entraînant un manque un gagner pour les caisses du Trésor américain estimé à 20 milliards de dollars (15,8 milliards d’euros).

http://www.france-info.com

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Les dégâts sur Le Triomphant ont-ils été minimisés ?

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Le Triomphant, récemment victime d’une collision avec un autre sous-marin, n’est pas prêt de reprendre la mer. Le quotidien Ouest-France révèle jeudi que le dôme protégeant le sonar ne serait pas la seule partie endommagée du sous-marin nucléaire français. Le kiosque -partie supérieure du submersible- et la barre de plongée tribord seraient également touchés. « Il y a des investigations en cours sur les conséquences de cet événement », s’est contenté de répondre lors du point de presse hebdomadaire de la Défense le capitaine de vaisseau Jérôme Erulin, chef du Sirpa Marine. « On est dans une phase d’enquête et d’évaluation. Les conclusions sont une phase ultérieure », a-t-il ajouté sans démentir les informations de Ouest-France.

Selon nos informations, le remplacement du dôme protégeant le sonar, à lui seul, entraînera, de fait, une longue immobilisation du bâtiment. Construit dans des matériaux composites et complexes, il doit être testé longuement afin de vérifier si l’eau qui est à l’intérieur en plongée s’écoule avec fluidité le long de la coque. L’eau, en effet, doit être totalement « lissée » pour ne pas perturber le travail de captation des antennes latérales du sous-marin. Il apparaît désormais évident que le SNLE restera immobilisé pour de nombreux mois.

Le scénario de la collision se précise

Concernant la collision, le scénario se précise également. On sait aujourd’hui que, si le Triomphant sera plus long à remettre en état, c’est en revanche le sous-marin britannique, le HMS Vangard, qui a couru le plus grand risque au moment du choc. Le contact se serait produit entre le nez du Triomphant et la partie latérale du Vangard. Le SNLE français a, ensuite, ripé et glissé sur la coque du britannique avant de s’éloigner. Les missiles nucléaires et le réacteur étant loin de l’avant, ils étaient bien protégés, ce qui n’est pas le cas pour les flancs même si les coques sont étudiées pour résister à de très fortes pressions.

Les marines française et britannique avaient annoncé lundi que Le Triomphant et le HMS Vanguard, étaient « entrés en contact brièvement » début février alors qu’ils naviguaient à grande profondeur dans l’Atlantique nord, sans qu’il n’y ait de blessé à déplorer. La Marine française avait d’abord annoncé le 6 février que le Triomphant avait heurté en plongée un « objet immergé », a priori un conteneur. Interrogé sur le changement de scénario et la lenteur avec laquelle il a été rendu public, le chef du Sirpa mer a précisé jeudi que les Britanniques avaient eu connaissance de l’incident une semaine après les Français. En patrouille, sauf accident majeur, un sous marin ne communique pas, il attend de rentrer à sa base. Le HMS Vangard est arrivé à Falstane, en Ecosse, le 14 février… Et le tabloïd britannique The Sun a sorti l’information le lundi 16.

La dissuasion nucléaire pas menacée

L’immobilisation de ce sous-marin nucléaire remet-elle en cause la capacité pour la France d’assurer la permanence à la mer, une des composantes de la dissuasion nucléaire ? Non, assure le capitaine Erulin. « La capacité d’avoir au moins un bateau à la mer est assurée », selon lui. La France dispose actuellement de trois SNLE -Triomphant inclus- en attendant la livraison fin 2010 du Terrible, quatrième bâtiment de nouvelle génération qui doit compléter l’arsenal nucléaire français.

source/plus:tf1.lci.fr